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Toutes nos félicitations à Stacy, Isidore, Olivier et Solinne, membres de notre section, qui sont sélectionnés pour représenter le département de l'Eure lors de la Finale Régionale des Animations Jeunes qui se déroulera les 19 et 20 juin à Alençon. Marie-Claude et Gilbert devraient les y accompagner. |
Il est LE grand prince du week-end. Muni de son t-Shirt bleu Superman, enrichit d'un entraînement exclusif en kayak, notre Didier s'octroie dès la première manche du dimanche LA place de premier choix chez les canoës hommes. Parti le dernier, il confirme les espérances du classement fédéral en terminant 1er en 1 minute 59 secondes et 15 centièmes. Sans aucune touche en seconde manche malgré un temps légèrement moins rapide qu'en première, il s'en repart avec un magnifique trophée et score à 223 points. Un seul mot : Bravo ! Pour le podium, Didier changea de t-Shirt et enfila au plus vite le rose d'Olivier. Classé 5ème mais 1er vétéran à l'issue de la première manche, il se surpasse en seconde laissant sur le bord sa touche et plus de six secondes pour finalement scorer à 254 points et figurer sur la troisième marche du podium, laissant le seul Romain BOVE de Loeuilly s'intercaler entre Didier et lui, je vous parle d'Eric. Une analyse subtile du parcours permettant de raccourcir les trajectoires afin de gagner quelques dixièmes de secondes sur chacune des 19 portes mêlée à la fulgurance de son nouveau bateau, bien plus court, confirme, s'il en était besoin, que cet achat se révélait plus que nécessaire. Eric m'a appris mardi soir que le top 20 des vétérans français pourrait lui devenir accessible prochainement. T-Shirt rose porté tout le week-end ! Félicitations ! Pour deux secondes quarante centièmes, c'est eux ! La première manche annonçait Rachel et Geoffroy sur la troisième marche du podium malgré leurs deux touches. Après avoir fait tout le porte à porte nécessaire afin de réviser le parcours dans son ensemble, Evelyne et Yves, réalisent l'exploit d'améliorer de plus de 35 secondes leur chrono de première manche et qu'importe alors s'ils touchent deux portes au lieu d'une. Ils sont LES troisièmes C2 mixtes du week-end et seconds vétérans derrière Catherine et Xavier des Castors Rislois. Finalement, Rachel et Geoffroy terminent avec les honneurs, troisièmes vétérans. La pénalité de 50 secondes reçue en deuxième manche le fut aussi pour Mélanie et Nicolas lors de leur deux premières et uniques manches (ne cherchez pas) ! Il recueille nos espoirs les plus vifs ! Donatien, Geoffroy et Samuel réalisent des performances plus modestes dans leurs embarcations monoplaces respectives. De quoi là encore nourrir nos espoirs de rose en vue du prochain sélectif N2 qui approche et n'a jamais senti aussi bon pour Chloé et des futurs sélectifs régionaux de la saison 2010-2011 pour Olivier. Elle fut enfin, LA grande princesse du week-end : notre juge : Béatrice ! Et puis, on n'oublie pas notre rockeur auteur compositeur interprète tueur pour son désormais célèbre "Wau, ho, ho, ho BRYLLONNE" : |
Carte Postale Sonore N°1 : "Léa" Dimanche matin 11 h 12 jusqu'à dimanche midi 13 H 38 puis dimanche après-midi 15 h 49 : Je vous fais grâce des paroles, si vous étiez là dimanche, la carte postale est sur le dessus de la pile et sinon vous en avez forcément une similaire pas bien loin. En boucle ! A un moment, je me suis rassuré en me disant "Calme toi, ça pourrait être pire ... On échappe à Christophe Maé"! Et puis plus tard j'ai cru entendre Christophe Maé quand même... Quand même ! Cette seconde carte vient gâcher tout le bonheur retrouvé avec les souvenirs qui remontaient de la première et les emmène au vent, de l'énervement. Nuit de samedi à dimanche, dans le salon de la tente de Geoffroy, véritable hôtel chambre d'hôtes... Plus aucun bruit, ou presque, je ferme les yeux et pense que je n'ai pas si froid, silence, départ, début de somme peut-être et puis ... MICHELINE... Micheline en journée, c'est une jolie loco qui tracte deux wagons et qui passe en rive droite de la rivière, régulièrement. Elle tire tantôt de belles voitures autocollées et tantôt de vieux rouleaux rouillés. Micheline ! Elle circule tantôt de la droite vers la gauche et tantôt de la gauche vers la droite, en sens inverse. Micheline ! Micheline, la nuit, s'allonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnge, pas à côté de nous, mais tellement si proche pourtant. Micheliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnng ! Micheline n'en finit pas de terminer de passer, Micheline détonne, Micheline résonne, Micheline étonne, Micheline assomme ! On peut alors se rendormir en espérant qu'elle ne repasse pas de si tôt ou bien ... Dimanche fin d'après-midi, deuxième manche de l'épreuve très courue "kayak homme". Les roses sont nombreux à s'égosiller sur le bord "Aller Nico !". Mélanie, je crois, ira même jusqu'à dire : "Il n' a jamais été autant encouragé" ou bien "personne n'a été encouragé autant que lui". Les hurlements ne faisant pas tout mais aidant bien quand même Nicolas passa la ligne d'arrivée. Je ne sais pas combien de fois Micheline est passée durant la nuit, peu je pense, mais longtemps. Micheline, j'ai déjà traité son cas et au final, peu importe. Les cloches c'est différent : si on admet qu'on s'est couché à minuit et levé à 8 h 15, on peut décemment penser qu'il nous a fallu les entendre 33 fois carillonner en position de repos sous la tente. Oui, à Picquigny, la nuit, les cloches sonnent tous les quarts d'heure, quatre coups au minimum car quand vient l'heure de l'heure pile, elles doublent le tarif ! Ce n'est pas un leurre. Alors leurs cloches aux Picquigniens au bout de quelques micro sommeils de 12 minutes t'as envie de les prendre et de les envoyer sonner ailleurs... Mais heureusement, sans ça, à Picquigny, t'as moyen de ne pas t'endormir la nuit ! J'aurai parié sur une multitude de gens mais pas sur lui ! A en croire ce que j'ai entendu entre deux cloches cette nuit de samedi à dimanche, il semble bien que Sébastien, notre Mouss, prépare, en secret quasi bien gardé, la sortie prochaine du tube de l'été 2010. Le refrain sonne bien, nous l'avions tous en tête au réveil : "Wau ! Ho ! Ho ! Ho! Bryllonne !". Un méga carton assuré pensons nous. Ceci permet de mieux comprendre pourquoi Seb ne courrait pas ce week-end, ce n'était pas son but premier simplement. Il voulait tester son effet et, rassurons nous, ça marche ! Il me reste maintenant à en comprendre les paroles. Bah c'est tout bête, à Picquigny, y'a des oiseaux. Y'a ceux que tu vois : les cygnes, les canards, les cols verts surtout. Ceux qui se gratouillent le cou, se fourrent la tête sous l'eau et s'en fourrent un bon coup... Ca c'est pour le visuel. Ensuite, y'a ceux que tu entends et, quand il fait jour, la carte postale n'en est que plus belle : "coucou", "tourterelle", "rossignol" et autres "moineaux" sont de la partie. Le truc c'est que, pour être certains de ne pas louper un carillonnement de cloche la nuit, ils chantent à tour de rôle pour se tenir éveillés. C'est beau, tu peux pas savoir ! T'imagines même pas comme c'est beau... et comme c'est pénible aussi. Du coup, toi non plus tu ne loupes pas les carillons. Pardon, pardon les oiseaux, pardon les cloches, pardon Sébastien, mais j'ai tout de même fini par sombrer. Pardon peut-être pour ces quelques ronflements que j'aurai pu, treize minutes durant, rajouter à toutes ces cartes postales sonores. Ce petit somme, m'aura été salvateur tout de même puisque parcouru d'un rêve lui aussi terriblement sonore. Une émission de radio m'apprenait le décès, par la voix de Jean-Jacques Debout, de son épouse Chantal Goya. Me réveiller transi, imaginant dès l'or les retransmissions ininterrompues de ses plus grands succès depuis "Un lapin" jusqu'à "C'est guignol" en passant par "Bécassine" durant tout le mois qui suit tel que nous l'avons l'an passé connu pour son homologue américain Mickaël Jackson m'a finalement tranquillisé quant à l'échec programmé de la carrière de Seb dans le milieu du disque. Je vous fais profiter de cette dernière carte postale sonore pour vous certifier que, quelques soit la nuit, quelques soient ses bruits, ses sons et ses délires, le jour lui succède. C'est bien ainsi qu'il m'a fallu accepter l'arrivée du dimanche et de sa fichue compétition sur ce même site de Picquigny, vieille somme. Allez savoir pourquoi, j'allais plus vite pour descendre le bassin en bateau, malgré tous les stops à effectuer, que pour regagner le départ à pieds. Véritable légume pouvant aller séjourner dans la maison de retraite voisine, je passais par quatre fois devant les plantations de pieds de tomates en pots de yaourts à la vitesse du somnambule, en bullant. Bref, une fois embarqué, il me fallait gagner le départ et ne pas m'assoupir en entendant : - J'ai le 39 au départ, t'as un chrono de libre ? - Je disais, le 39 est au départ, avez-vous un chronomètre prêt à fonctionner ? A l'image d'un Donatien téléphonant à sa copine au moment du coucher, je n'avais qu'une voix sur les deux. L'usage du haut parleur pouvant sans doute être dangereux à Picquigny, je n'osais demander la permission d'ouïr par moi même la réponse. Malin comme un singe, endormi certes, mais singe quand même, je la devinais sans trop de problèmes en écoutant la suite de la conversation uniforme : - Le 39 est au départ, y a t-il un chrono de libre ? Je peux lui donner le départ ? Je peux le lancer ? - Tu peux me répéter la réponse parce qu'avec les cloches, je n'ai pas entendu... - Je voulais savoir si un chrono était prêt pour le départ du 39 ? - Le 39 est au départ, avez vous un chrono de disponible ? - Non, là avec les oiseaux je n'ai pas pu entendre, quelqu'un peut me dire si je peux lancer le 39 ? Y'a un chrono de libre ? - Pardon ? - Pardon ? Avec le train, j'ai rien entendu. J'ai le 39 qui commence à descendre de bateau, là , je peux le faire partir ? Wau, ho, ho, ho BRYLLONNE ! Excellent week-end ! Merci à tous ! Et les résultats arrivent... |
Je ne sais pas comment ça a commencé. Je ne sais pas ce qui poussa dans la tête d'Eric et ce qui se passa en ce printemps 2002 pour qu'avec l'ensemble de sa famille ; à l'heure où nous autres préparions d'arrache-pieds le second séjour d'été du club hors de France, en cette contrée que l'on appelle encore l'Espagne, et qui, elle aussi, venait à peine de commencer à utiliser une nouvelle monnaie à laquelle tous ne croyaient pas ; il mette en place la première mouture de ce qui deviendra huit ans plus tard : le 9ème VTT Kayak. Je ne sais pas en quelle année j'ai commencé à m'y associer. Je sais qu'alors Gwennick m'accompagnait en queue de file le matin tandis que David prenait en charge la mise en place de la sécurité sur l'eau l'après-midi. Je ne sais pas si, lors de la première mouture, des effluves du 21 avril venaient emplir les conversations durant le repas du soir mais je me souviens très bien de ce partage verbal latant, au sous-sol de la maison Beaumont en ce soir de référendum Européen ; ce devait être en 2005. Je me souviens aussi d'une pluie ininterrompue lorsque nous déjeunions, sous les bâches tendues entre deux remorques, du côté de Saint Georges du Vièvre. Je nous revois rincés dans les ruines du château de Montfort sur Risle, ruisselants mais le sourire béa. VTT : comment ne pas m'enthousiasmer des critiques amicales qui systématiquement accompagnaient la venue de mon bolide et de ses pneus tout lisses ... ZIP ZIP vous disiez... Ah ! Pour cette année, j'avais fait un effort : pneux neufs, qui accrochent bien. Côté tenue : des pompes de ville bien entamées car une fois que l'on a apporté ses baskets blanches une année : on ne reccommence plus ! Quitté la route bitûmée vous êtes certains de devoir traverser d'abord un ru bien rempli suivi tout naturellement d'une flaque sombre et longue, longue, longue... et profonde, profonde, de plus en plus profonde... et glissante, glissante, glissante : un dernier appui sur le pédalier et nous ne tomberons pas. Le parcours de cette année, à ce niveau, n'a pas dépareillé ! Il faut dire qu'Eric n'a pas son pareil pour débusquer le chemin, l'allée, la ronce, l'ortie qui vont satisfaire le plus grand nombre. Je sais que de nombreux mois à l'avance, il repère, sillonne, trace, essaie à contre sens, corrige, ce qui sera le jour même le cheminement parfait, qui plus est adaptable au niveau des différentes personnes présentes afin que chacun se fasse plaisir au maximum en fontion de ses capacités, de son humeur physique et morale et pour ma part, de son orgueil ! Mais ce n'est pas tout ... Il faut bien comprendre que tout est parfait parce qu'Eric y met vraiment du sien. Aidé de quelques uns de ses plus fidèles potos du vélo, il place la veille au soir et parfois même pendant la nuit, les éléments indispensables au formidable truchement des valeurs et de leur osmose tout au long de la randonnée. Le jour même, tout se déroule comme si, rien n'était exceptionnel, tout était naturel. Je dois l'avouer, les premières années, je m'y suis aussi laissé prendre. Je croyais que nous avions une chance formidable, je nous pensais vernis... J'ai depuis compris que rien n'est du au hasard et qu'en cela aussi Eric doit être sincèrement reconnu comme un organisateur hors pair. Les chants d'oiseaux que nous entendons tout le long du cheminement cyclistouterrains ne sont du qu'au placement méticuleusement réfléchi par Eric en fonction des espèces, couleurs et races, des spécimens choisis. Les baudets et autres équidés croisés deci delà lorsque l'on ose relever la tête du guidon, sont eux aussi rapatriés des plus grands haras pour venir paître quelques heures sur des terrains loués pour l'occasion. Les vaches, tout comme celles que nous pourrons apercevoir l'après-midi lors de la descente en bateau, sont des habituées des voyages en avion et sont sélectionnées en fonction de leur résistance au bruit, aux chutes dans les rus et autres frétillements d'emballages de barres de céréales. Si quelques fois vous croisiez un écureuil, un sanglier, une marthe, un grillon... : dites-vous simplement qu'il s'agit du gros morceau de l'année, que la surprise tant attendue, celle qui fait pétiller les yeux d'Eric depuis le début de la matinée mais qui aussi rajoute à son angoisse de manquer de pates coréennes pour le repas du soir, n'est plus à attendre. Voici du moins pour la faune. La flore est tout autant calculée, tout aussi aboutie : comme mentionné ci-dessus ronces et orties sont plantées adroitement dès l'automne précédent, le charme des charmes, l'oisiveté des noisetiers, l'être sans paraître des hêtres... rien n'est du au hasard et c'est adroitement que, cette année, à l'aulne et à l'aube de ses quarantes ans, Eric plaça de nombreux aulnes sur le trajet. Quel n'en fut pas mon émerveillement ! Reste le sol : j'ai évoqué les rus et les flaques... Combien de pelletés ? Combien de coups de pioches ? Combien de sueurs pour arriver à creuser puis remplir ces tranchées ? Combien de litres d'eau et de kilomètres de tuyaux pour acheminer ici ce qui apparaîtrait comme l'élément manquant numéro un de cette journée, si cette étape se voyait supprimée de la préparation ? Et les rochers, les pierres et les cailloux qu'il faut chaque année déplacer et retourner, entailler pour que nous ne soyons pas en mesure de les reconnaître d'une année sur l'autre. Et les racines qu'il faut dégager pour les laisser apparentes, et ces saillies dans la terre : combien d'heure passeés à moto par Eric et les siens pour creuser ces sillons ? Combien d'heures prochaines pour les reboucher ? Et tout cela, tout cela pour notre plus pur plaisir. Tout cela pour qu'à l'heure du déjeuner nous disions : "Oh bah, je suis bien crevé là , j'ai un peu froid."... Manger, manger goulûment pour remplir ce qui se creusa durant toute la matinée ; sans penser à ceux-là même qui quelques jours plus tôt creusèrent... Manger et puis s'engager sur la pente du "faut pas traîner", "si on veut que le plus grand nombre navigue" : se changer, décharger les bateaux, attribuer le matériel, vérifier sa correcte installation, se répartir les postes pour la mise en place la plus adaptée de la sécurité, et embarquer, guider, conseiller, arroser ... L'après-midi se veut pagayante sous le soleil ou sous la pluie, sur l'eau dans le bateau ou bien sur terre en le poussant. Une année ne fait pas l'autre et, comme pour le VTT le matin, Eric se plaît à aménager ses parcours au fil des années. Ainsi, cette fois, il proposa que certains puissent arrêter le parcours à mi-chemin. Il installa également trois chutes à la sortie de Brionne, là où une seule existait lors de la dernière utilisation de ce parcours en journée de ce type. De la boue suffisamment fraîche pour qu'elle puisse être lancée était aussi disposée en des endroits facilement accessibles de la rivière. Trois petites heures de navigation qui elles aussi firent des heureux avant que tous ne se retrouvent le soir pour échanger et converser sous le hangard construit depuis quelques années pour permettre ses occasions. Et ces soirées se déroulent tranquillement, les uns gloussent à un bout de la table tandis que les autres inspirent fortement afin de mieux expirer l'air pimenté qui ressort tout à la fois de leur bouche et de leurs narines avant qu'ils ne se ruent sur un second navet à la sauce coréenne. Des enfants courent, des adultes commentent des photographies judicieusement positionnées au mur, une jeune fille passe avec un plateau et vous propose de nouvelles frites chaudes pour accompagner votre merguez, un jeune que vous avez déjà vu lors d'une précédente édition remplit son verre de Jeanlin, vous faites de même. Tout vous y invite mais personne ne vous y force. A l'heure que vous avez choisie, vous quittez les lieux, Eric vous remercie de le remercier, il vous rappelle combien vous êtes formidable et pousse sa modestie jusqu'à vous faire croire que la journée fut réussie grâce à vous. Vous quittez les lieux comblés et certains d'y revenir lors d'une prochaine édition, puisque sa réussite vous le doit. Le lendemain matin vous vous levez, des souvenirs dans la tête et des engourdissements dans les genoux, les épaules et les côtes mais toujours persuadé d'y retourner une autre année. L'année prochaine Eric fêtera les dix ans de cette "institution", il pourra être bon que le CSBCK y soit représenté à plein afin, tout simplement, que nous soyons nombreux à y prendre ... du plaisir. Merci Eric ! |
Pas de séance mercredi 12 mai 11-05-2010 |
Il n'y aura pas de séance école de pagaie demain mercredi 12 mai. De nombreux écoles et collèges font cours... |
régionaux de fins de saisons 06-05-2010 |
Deux régionaux importants sont à noter: celui de corbeil le 20 juin et le dernier en Normandie à pont authou Il faudra que sur ces deux manifestations un maximum de personne fassent leurs dernières courses afin de pouvoir être classés |
N3 Montreuil 2010, les vidéos (3) 04-05-2010 |
On enchaîne avec deux vidéos croisées des C2 (où l'on voit, hélas, que l'on se prend bel et bien une bonne branlée) et les deux manches de Didier en C1. NB : les commentaires de Séb en fond sonore, c'est quand même digne d'un "instant Mastercard". La suite et la fin demain...peut-être! :) |
N3 Montreuil de beaux résultats 02-05-2010 |
Le week-end dernier se déroulait la deuxième course de niveau national 3 de la saison. Pour celle-ci tout le monde ce donnait rendez-vous à Montreuil-sur-mer. Ce fut avec grand plaisir que tout le monde retrouvé ce bassin très intéressant en attendant?. que celui-ci ne se trouve profondément modifié. En effet un nouvel aménagement du bassin est prévu pour 2011 afin de pouvoir accueillir des équipes étrangères en vu des jeux olympiques. Pour cette deuxième course nous pourrons constater le retour de Nico. Après avoir débuté la saison dans la division supérieure, le voici de retour en N3. Premier à partir le matin les canoës. - Sébastien fut le premier à partir. Une course en C1 loin d?être évidente de par son tracé pour celui-ci. Une vingtième place et 732 points pour notre néo vétéran !! un score bien loin de ses 661 points de moyenne. - Deuxième à parti pour notre club Guillaume. Une dixième place et 310 points qui seront facilement améliorable lors du prochain N3 sans pénalité :p - Dernier à partir pour les Céistes et donc en position de leader avant la course, Didier. Le seul objectif pour lui étant de finir sur le podium tellement le niveau fut serré. Ce fut une belle quatrième place et 279 points avec 0,28s du podium. Certes un peu déçus, il tentera sans aucun doute à se rattraper pour les prochaines manches.< /br> En canoe biplace : - Une catégorie montante et qui suscite énormément de vocations cette année. De nombreux nouveaux bateaux sont ainsi présents cette année. - Nous continuerons avec les places? chocolats par notre C2 sénio-vétéran : nico-bertrand. Une quatrième place et 318points. Un joli résultat pour ces deux comparses d'entrainement. - Le dernier biplace est une nouveauté de cette année. Composé de Guillaume et benoit (castor rislois) qui réussit malgré la concurrence relever à remporter le deuxième sélectif national 3. 260 points et plus de 2secondes d'avances, c'est une véritable démonstration de force qu'ils nous jouent. Vainqueur du dernier N3 les voici en position de force pour peut être remporté tous les N3 et la finale? L'après midi quand à elle commença par la catégorie elle aussi en développement le C1 dame. Chloé unique représentante de notre section finis sont parcourt avec 744points. Un bon résultat pour notre pensionnaire de N2 en kayak qui prend de plus en plus de plaisir dans cette nouvelle embarcation. Pour les kayaks : - Sebastien : a posé bien des soucis à xavier. La première manche ne les partageant que de 1 secondes, c'est finalement la deuxième manche qui les départage. Il finit donc avec 484points et continu sa progression. Quand à Xavier lui qui à sorti une très bonne deuxième manche finit avec 379 points. La fameuse barre des 400 points est ainsi passée. - Bien plus haut nous avons de nouveau Nicolas. Parti cinquième et avec la ferme intention de remonter N2 la saison prochaine, c'est une grande déception qui s'empare de lui avec sa 18ème place et ses 298 points. Prochain rendez vous : le 22 mai à picquigny. En espérant de nouveaux bons résultats. |